Législatives : Comparaison des programmes sur l'international, la défense et la guerre en Ukraine
Décryptage par l’IA des programmes NFP, Ensemble et RN pour les élections législatives de 2024.
Avez-vous bien suivi la campagne des élections européennes 2024 ?
Plongez-vous dans les récentes déclarations des candidats et tentez de deviner qui a prononcé les citations suivantes, cette semaine du 25 au 31 mars.
"Moi, je dis une chose très simple. La Russie conteste aujourd'hui beaucoup d'intérêts français et la guerre est aujourd'hui aux portes de l'Europe."
"Je le dis, aujourd'hui on n'a pas besoin de moins d'emplois, on a besoin de plus d'emplois, on a besoin de permettre de créer suffisamment d'emplois sur le territoire pour permettre justement d'engager des grands travaux."
"Vous savez, il y a des journalistes qui sont des chochottes. C'est-à-dire que quand ils entendent parler de débats animés, d'échanges… parfois vigoureux, c'est immédiatement l'apocalypse. Il y a des gens qui devraient aller en Corée du Nord. En Corée du Nord, il n'y a pas de débat. Ils sont peinards."
"Déjà, permettez-moi de commencer en disant que je n'ai aucune confiance en Mme Belloubet, qui a été la ministre de la Justice, qui a libéré près de 13 000 détenus de façon anticipée au moment du Covid pour lutter de manière efficace contre l'islamisme."
"Moi je n'ai pas bégayé pour qualifier le Hamas d'organisation terroriste le 7 octobre et les jours qui suivaient. Mais je n'ai pas bégayé non plus pour condamner sans fard les crimes commis par Benjamin Netanyahou et son gouvernement d'extrême droite à Gaza."
"Je pense que la politique c'est montrer ses différences et que sinon ça ne sert à rien. Si on ne montre pas ses différences, c'est qu'on n'a pas des idées à défendre, des convictions à défendre."
"Écoutez, les sondages, c'est une photo à un instant T, ça ne dit rien du résultat de l'élection. On commence la campagne tout juste et on va se mobiliser partout sur le terrain."
"Aujourd'hui, au travers des attaques qui sont menées contre la presse, c'est la démocratie qui est en danger. Je pense qu'il faut que les Français le comprennent. Le pouvoir devient fébrile, a peur, parce qu'il sent que le peuple se réveille. Et moi, j'appelle au sursaut, parce que je veux le dire, dans cinq ans, il sera trop tard.”
"Je pense qu'il y a une partie de la gauche qui à un moment s'est un peu trop perdue dans des combats autour de la valorisation de minima sociaux. Bien évidemment, il ne s'agit pas de les remettre en cause. En revanche, il faut se battre avant tout pour permettre d'éradiquer le chômage, permettre que tout le monde puisse travailler et surtout puisse vivre dignement de leur travail."
"Nous allons être la grande et belle surprise du 9 juin 2024. Nous allons bouleverser les échiquiers politiques." ?
Article rédigé sous supervision éditoriale avec des outils d'Intelligence Artificielle Générative.
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