Retrouvez tous les dimanches à 19h le classement exclusif de la campagne établi par notre IA pour les élections européennes 2024.
Les candidats d'opposition dénoncent une privatisation des moyens de l'État, un bilan décevant et un manque d'ambition sur les questions sociales et écologiques.
L'essentiel à retenir du discours du Président de la République à la Sorbonne avec 12 propositions.
Avez-vous bien suivi la campagne des élections européennes 2024 ?
Plongez-vous dans les récentes déclarations des candidats et tentez de deviner qui a prononcé les citations suivantes, du 30 mars au 5 avril.
"On n'a pas tout bien fait, c'est une évidence."
"Je ne suis pas pour la sortie de l'UE. Il faut une coopération européenne. Ce que je dis, c'est qu'en continuant les mêmes politiques européennes qui sont construites contre l'intérêt des peuples, les Français n'en veulent plus"
"Aujourd'hui, ce que nous disons c'est que nous devons réaffirmer avec force l'existence d'un sanctuaire républicain qui soit libéré du carcan familial, du carcan religieux. Ce sanctuaire républicain, c'est l'école de la République."
"Ma famille vit encore à Saint-Denis. J'ai grandi dans une cité HLM, dans une cité modeste de la ville. J'y ai fait ma scolarité. Et puis c'est là que je me suis forgé mes premières convictions politiques"
"Moi ce que je peux vous dire c'est que mon combat c'est le climat, mon combat c'est la justice, mon combat c'est l'écologie. Moi vous savez, on est chez les écologistes, on dit la même chose à Bruxelles, à Paris et sur le terrain dans les villes que nous dirigeons."
"Aujourd'hui le RN a 30% dans les intentions de vote. Evidemment que ça pose question, que ça m'inquiète."
"Les extrêmes sont très présentes sur TikTok. Nous, on a fait le choix de respecter la consigne du Parlement européen et de la Commission européenne parce qu'il y a des risques d'ingérence chinoise avec TikTok."
"Je ne dis pas merci au nucléaire."
"Moi j'ai des propos qui tranchent avec une partie de la gauche sur l'islamisation de certains quartiers."
"Personne ne peut croire que la Russie soit de bonne foi aujourd'hui. Cela étant dit, évidemment, si on ne fait de la diplomatie qu'avec les gens qui sont de parfaite bonne foi, on ne fait plus de diplomatie du tout."
Avez-vous bien suivi la campagne des élections européennes 2024 ?
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