Voici une analyse des principaux enjeux de cette élection européenne pour la liste du PCF conduite par Léon Deffontaines.
Faire son retour au Parlement européen en dépassant le seuil des 5%. LéonDeffontaines vise à obtenir au moins 5 sièges d'eurodéputés, contre 0 actuellement, en rassemblant au-delà du PCF (ex-LFI, ex-PS...). Il appelle les 4 listes de gauche à franchir ce seuil pour faire perdre des sièges à la droite.
Incarner la "gauche du travail" en remettant les questions sociales au coeur. LéonDeffontaines veut faire de l'emploi, des salaires, du pouvoir d'achat, de la production sa priorité, contrairement à LFI focalisée sur l'Ukraine ou la Palestine selon lui. Il cible les "victimes de l'Europe libérale".
S'opposer frontalement à la droite, à l'extrême-droite mais aussi à la gauche pro-UE. LéonDeffontaines dénonce le RN "faussaire social" qui vote comme Macron à l'Assemblée, mais critique aussi le fédéralisme de Glucksmann (PS) et les Verts, accusés de ne plus s'adresser aux classes populaires.
Proposer une "autre Europe" qui rompe avec les traités "libéraux". Léon Deffontaines veut "changer l'UE" de l'intérieur en s'attaquant aux directives favorisant l'austérité, la désindustrialisation, le dumping social... Il prône la réindustrialisation et la souveraineté.
Assumer un discours souverainiste de gauche pour "défendre les intérêts des Français". A 27 ans, Léon Deffontaines revendique l'héritage du "non" de 2005 au TCE et conteste la légitimité démocratique de l'UE actuelle. Il veut "reprendre la main" sur les décisions européennes.
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Le PCF joue la carte d'un euroscepticisme social-souverainiste décomplexé, en rupture avec la ligne historique des communistes français. Léon Deffontaines cherche à capter l'électorat populaire tenté par le vote RN ou l'abstention, au risque d'un choc frontal avec les autres forces de gauche pro-européennes.
GenAI
Article rédigé sous supervision éditoriale avec des outils d'Intelligence Artificielle Générative.
