
😀 Les invités ce matin
🔴 Fabien Roussel, secrétaire national PCF
🟠 Sylvain Maillard, député Renaissance
🟠 Agnès Buzyn, ex-ministre
🔵 Valérie Pécresse, présidente Région IDF
🔵 Philippe Juvin, député LR
⚫ Jordan Bardella, président RN
⚫ Laurent Jacobelli, député RN
⚪ Sophie Binet, secrétaire générale CGT
⚪ Michel-Edouard Leclerc, président Leclerc
😢 L’interview de Raphaël Glucksmann dans les 4V sur France 2 n’était toujours pas en ligne à l’heure où nous bouclons cette édition.
🌈 Ambiance du jour
📉 Le coût des compromis
Un dernier pas vers le précipice financier : la facture sera payée par les générations futures
- L'abrogation de la réforme des retraites représenterait un coût immédiat de 3 milliards d'euros par an, pour atteindre 16 milliards à terme.
- L'agence Moody's a déjà averti que l'instabilité politique constituait un risque financier majeur. La dette publique française, à des niveaux historiquement hauts, pourrait voir son coût augmenter davantage.
- "Toute remise en cause, toute pause, toute suspension de la réforme Borne, ce seront des milliards d'euros perdus. Tout ça pour faire passer un budget dont l'objet est pourtant de commencer à réduire les déficits". - Guillaume Tabard
- Le compromis recherché ressemble ainsi à un marché de dupes : une survie politique à court terme contre une détérioration durable des finances publiques.
- La question est de savoir "ce qui est le plus infamant : être un Premier ministre encore plus bref que Michel Barnier, ou être le Premier ministre qui aura accompagné le pays dans son dernier pas vers le précipice ?". -Etienne Gernelle
- Fabien Roussel - sur BFMTV/RMC : "D'abord, je voudrais dire à vos téléspectateurs et téléspectatrices, bonne année, bonne santé et beaucoup d'argent dans le porte-monnaie."
- Sylvain Maillard - sur Europe 1/CNews : "Je pense qu'il ne faut pas avoir une vision politique là-dessus. Pourquoi on a fait la réforme des retraites ? Parce qu'on a besoin de travailler un peu plus pour financer notre modèle."
- Sophie Binet - sur Franceinfo : "Ce qui m'inquiète, c'est que j'ai l'impression qu'encore une fois, ce gouvernement est sous la dépendance du patronat et sous la dépendance du MEDEF."
- Philippe Juvin - sur Sud Radio : "Je préférerais toujours celui qui se lève pour aller travailler le matin à celui qui reste les fesses dans le canapé à regarder Netflix, il y en a beaucoup."
- Jordan Bardella - sur RTL : "Je crains que lorsqu'on ait été l'un des artisans du macronisme, un macroniste de la première heure, on ne puisse pas être un homme de rupture."
- Laurent Jacobelli - sur LCI : "Nous allons essayer d'éviter un budget qui serait néfaste à la nation [...] nous ne sommes ni naïfs, ni couards."
✋ Cinq infos
- Michel-Edouard Leclerc annonce une demande officielle pour la vente d'autotests Covid en grande surface
"Je vais lui écrire aujourd'hui pour lui demander de nous redonner le droit de vendre des autotests, ne serait-ce qu'à titre préventif et pour que tout le monde en ait en stock." - Sophie Binet révèle le chiffrage CGT pour l'abrogation de la réforme des retraites
"D'ici à 2030, le coût de l'abrogation est estimé autour de 16 milliards d'euros. Et donc, pour les atteindre, il faudrait doubler le forfait social sur l'épargne retraite [...] et puis peut-être augmenter très légèrement le taux de cotisation vieillesse." - Valérie Pécresse soutient Rachida Dati à Paris
"Si on veut gagner Paris, il faut se rassembler. Et il faut se rassembler très largement [...] Et à ce stade, je crois que c'est Rachida Dati." - Philippe Juvin alerte sur le risque d'intervention du FMI en France
"Et je vous le dis, un jour, le Fonds monétaire international sera à Paris et dira on ne paye plus les fonctionnaires. C'est ça qui va se passer." - Jordan Bardella confirme avoir assisté aux obsèques de Jean-Marie Le Pen
"Oui, j'y étais, non pas d'ailleurs comme président du Rassemblement National, mais comme un ami, un ami de Marine Le Pen, un ami de la famille Le Pen."
🎙️ Politiques
État des lieux des positions sur la réforme des retraites
🔴 A gauche
Sophie Binet (CGT) : pour l'abrogation immédiate
- "Les chômeurs de plus de 62 ans ont augmenté de 50% déjà depuis la mise en place de cette réforme."
- "Il faut bloquer immédiatement son application [...] c'est autour de 2 à 3 milliards d'euros. Donc c'est tout à fait trouvable."
Fabien Roussel (PCF) : pour une solution pragmatique
- Proposition concrète : "Je propose de prendre 10% sur les revenus financiers des entreprises [...] c'est plus-value boursière, c'est distribution de dividendes."
- Focus sur l'urgence : "Tous ces hommes et ces femmes qui auraient dû partir à 62 ans [...] puissent partir en retraite là dans les mois qui viennent."
🟠 Au centre
Sylvain Maillard (Renaissance) : défense de la réforme
- Argument financier : "Sur une fiche de paye, c'est 29% de ce que vous gagnez qui finance les retraites [...] c'est important. C'est un budget important."
- Vision long terme : "Il y aura d'autres réformes des retraites, obligatoirement. Mais ce qu'il faut, c'est être raisonnable."
🔵 A droite
Philippe Juvin (LR) : pour une réforme différenciée
- Coût de la suspension : "Geler la réforme actuelle des retraites pour rien, c'est 3 milliards et demi cette année, et 10 milliards en 2027."
- Approche personnalisée : "L'idée que tout le monde parte à le même âge est une idée absurde [...] le brancardier dans mon service qui pousse des brancards qui sont lourds, probablement, lui, il ne pourra pas aller jusqu'à 64 ans."
Valérie Pécresse (LR) : opposition ferme à la suspension
- Argument générationnel : "Si nous mettons en faillite notre système de retraite [...] c'est les jeunes générations qui vont trinquer."
⚫ A droite droite
Jordan Bardella : position flexible
- Focus carrières longues : "Je demande que ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans puissent partir avec 40 annuités."
- "Suspension, c'est ce que j'avais défendu pendant la campagne des élections législatives."
Les points de convergence :
- Nécessité de traiter différemment les carrières pénibles et longues
- Reconnaissance d'un besoin de financement pérenne
Les points de divergence :
- Méthode : abrogation vs suspension vs maintien
- Financement : taxation du capital vs allongement du travail
- Temporalité : mesures immédiates vs réforme progressive
Les enjeux pour le gouvernement :
- Trouver un compromis permettant d'éviter la censure
- Maintenir l'équilibre financier du système
👷♀️ Syndicats
🎙️ La CGT pose ses conditions et chiffre ses propositions - Sophie Binet sur FranceInfo
- "Ce qui m'inquiète, c'est que j'ai l'impression qu'encore une fois, ce gouvernement est sous la dépendance du patronat et sous la dépendance du MEDEF."
- Critique des aides aux entreprises : "La première chose qu'a fait Bercy pendant la trêve des confiseurs, c'est de sécuriser le patronat sur ces 200 milliards d'exonération fiscale et sociale."
Proposition chiffrée sur les retraites
- "Pour 2025, ça serait immédiatement soumettre à cotisation l'intéressement et la participation."
- Vision à long terme : "D'ici à 2030, le coût de l'abrogation est estimé autour de 16 milliards d'euros. Et donc, pour les atteindre, il faudrait doubler le forfait social sur l'épargne retraite [...] et puis peut-être augmenter très légèrement le taux de cotisation vieillesse."
Position sur les jours de carence
- Ligne rouge claire : "Je lui ai dit que c'était une ligne rouge totale et que si c'était maintenu, les fonctionnaires seraient dans la rue. Ça, c'est très clair."
- "Il ne m'a pas donné de réponse et m'a renvoyé à son discours de politique générale. Donc, on verra demain."
Critique de la situation de l'éducation nationale
- “Les enseignants sont très inquiets et ressentent ça comme une déclaration très méprisante en fait, une attitude méprisante."
- "Il y a eu quatre ministres pendant l'année, la situation va très mal. Et donc, on a besoin d'avoir une ministre qui soit à l'écoute, impliquée sur ces dossiers, sérieuse."
🇺🇸 Trump II
🎙️ Agnès Buzyn met en garde contre les risques sanitaires - sur Radio Classique
- "Non, il a fait des annonces extrêmement inquiétantes. Alors oui, il est quelque part un peu libertarien, c'est-à-dire qu'il laisse tout le monde choisir et faire ce qu'il veut. Mais en réalité, les dépenses de santé des agences sanitaires américaines vont considérablement diminuer."
- "Ça veut dire moins de protection, moins de règlements sur les médicaments, ça veut dire moins de contrôles, et donc c'est un risque pour la santé humaine."
🎙️ Jordan Bardella : l'économie française décroche - sur RTL
- "L'économie française décroche au sein de l'Union Européenne, mais aussi par rapport à nos partenaires des grandes puissances comme les Etats-Unis par exemple, qui eux vont repartir avec des mesures très favorables aux entreprises. Je pense à ce que s'apprête à faire Donald Trump pour les entreprises américaines."
🎙️ Sylvain Maillard sur l'ingérence - sur Europe 1/CNews
- "Il y a de l'ingérence partout, tout le temps. Il y a de l'ingérence russe, il y a de l'ingérence... C'est ainsi qu'est organisée la géopolitique à l'heure actuelle. Et donc, il faut avoir les yeux ouverts, il ne faut pas être naïf."
💡 Éditos politiques
☕ Au menu des éditorialistes politiques ce matin :
La négociation avec le PS sur la réforme des retraites et le risque de censure du gouvernement Bayrou
💡 La censure en ligne de mire - Patrick Cohen sur France Inter
- L'Assemblée nationale est devenue le premier lieu de pouvoir depuis la censure du gouvernement Barnier le 4 décembre dernier.
- François Bayrou jouera sa survie sur sa capacité à sceller un compromis budgétaire avec une partie de la gauche dans son discours de demain.
- Une nouvelle violence politique et une polarisation inédite règnent à l'Assemblée depuis 2022, mesurées précisément par des chercheurs.
- "L'Assemblée est devenue le premier des lieux de pouvoir, c'est là qu'il y a un peu plus d'un mois, le 4 décembre, le gouvernement Barnier était renversé par un vote de censure."
💡 Le PS retrouve son influence perdue - Renaud Dely sur France Info
- Le Parti Socialiste et ses 66 députés se retrouvent en position de faiseurs de roi, une première depuis 2017.
- Après des années d'humiliations et un score historiquement bas en 2022, le PS redevient un acteur central du jeu politique.
- Le Premier ministre cherche à satisfaire simultanément le centre, la gauche et la droite pour échapper aux insoumis et au RN.
- "Le PS au centre du jeu et ses 66 députés en faiseur de roi ou plutôt en faiseur de gouvernement, ça fait plus de 7 ans que ça ne leur était pas arrivé depuis 2017."
💡 L'équilibre instable du centre - Jean Leymarie sur France Culture
- François Bayrou doit choisir entre un accord avec la gauche et le maintien de ses alliances à droite.
- Le Premier ministre cherche une solution tactique plutôt qu'idéologique pour éviter la censure.
- Même avec un accord PS, rien ne garantit la stabilité future face à une possible alliance LFI-RN.
- "Dans les heures qui viennent, François Bayrou ne va pas faire un choix idéologique, il va prendre une décision tactique et incertaine."
💡 Le prix fort de la survie politique - Guillaume Tabard sur Radio Classique
- Les macronistes rêvent de s'entendre avec une "gauche de gouvernement" distincte des insoumis.
- Le paradoxe d'une gauche dite responsable obtenant une mise en danger du financement des retraites.
- Le risque d'une réunification de la gauche face aux enjeux électoraux reste présent.
- "Il y a quand même un paradoxe. A vanter une gauche dite responsable en lui cédant sur une mise en danger irresponsable du financement des retraites."
💡 La France faible - Vincent Trémolet de Villers sur Europe 1
- La stratégie gouvernementale privilégie la gauche malgré une société plus à droite que jamais.
- Le ministre de l'Intérieur apparaît isolé dans son bras de fer avec l'Algérie.
- Le gouvernement risque d'incarner une "France faible" avec une politique économique de gauche.
- "Si cette équipe choisit une politique économique de gauche et laisse son ministre de l'Intérieur seul contre tous, il sera le gouvernement de la France faible."
💡 Le racket fiscal - Etienne Gernelle sur RTL
- Le Premier ministre doit montrer l'exemple d'un homme politique disant la vérité sur le déficit.
- L'histoire montre que la prospérité peut aller de pair avec une fiscalité modérée.
- La "justice fiscale" invoquée cache une forme de racket d'État.
- "Montrer ce que c'est qu'un homme politique qui dit la vérité sur le déficit, y compris lorsqu'il est au pouvoir."
💡 Éditos éco
💡 Radio France en bonne santé - Dominique Seux sur France Inter
- La Cour des comptes délivre un satisfecit rare à Radio France pour sa gestion et son adaptation numérique.
- L'entreprise publique maintient ses audiences et modernise son offre malgré les mutations du secteur.
- Des points d'attention demeurent sur la gestion RH et la diversité des publics.
- "Radio France, près de 20 millions d'auditeurs par jour, France Inter, première à deux France, France Info, deuxième, France Culture, en progression constante."
💡 L'accord qui menace l'économie - François Vidal sur Radio Classique
- Le gouvernement sacrifierait deux marqueurs macronistes : la politique de l'offre et la réforme des retraites.
- L'accord avec le PS risque d'aggraver les déficits publics et le coût de la dette.
- La crédibilité d'un engagement durable du groupe PS reste douteuse.
- "Paris vaut bien une messe, a estimé à raison Henri IV, l'illustre prédécesseur béarné de François Bayrou, mais un accord très fragile avec les députés PS, lui, ne vaut pas le prix que le Premier ministre semble prêt à lui accorder."
💡 Le coût caché de l'abrogation - Olivier Babeau sur Europe 1
- L'abrogation de la réforme des retraites représenterait un coût immédiat de 3 milliards par an, et 16 milliards à terme.
- Le gouvernement cherche à séduire la partie la moins à gauche du nouveau Front populaire au prix de concessions majeures.
- L'utilisation du fonds de réserve des retraites pour financer l'abrogation menacerait sa rentabilité de 3,9% qui génère des ressources essentielles.
- "Pour les séduire, il y a hélas une exigence redoutable, accepter l'abrogation ou la mise en pause, ça revient au même, de la réforme des retraites, soit un coût immédiat de 3 milliards par an et à terme de 16 milliards par an."
🔎 Focus
🎙️ Agnès Buzyn : retour sur la crise Covid - sur Radio Classique
- "Le premier mort chinois c'était le 11 janvier. Et c'est le moment où je décide de mettre un message au président de la République et au Premier ministre."
- "J'ai réalisé qu'il se passait quelque chose en Chine la dernière semaine de décembre sur les réseaux sociaux [...] On a déclenché le centre de crise, on a ouvert le centre de crise le 1er janvier."
La Chine et l'origine du virus
- Doutes persistants : "Non, je n'arrive pas aujourd'hui avoir une vision claire de l'accident de laboratoire ou du passage de l'animal à l'homme. Il y a des publications régulièrement qui vont dans un sens ou dans l'autre."
- Dissimulation : "Sur le fait que les autorités chinoises ont caché des évidences assez tardivement, là j'ai une religion bien faite."
Les dépenses de santé en France
- "Nous sommes le troisième pays au monde en termes de dépenses de santé. Nous sommes à 12,6% du PIB, juste derrière l'Allemagne qui est à 12,7% et derrière les Etats-Unis qui sont à 17%."
- "Si nous augmentons les dépenses de santé aujourd'hui [...] nous allons être obligés de réduire les dépenses de l'école, ou de la justice, ou de la police, ou de l'armée."
Le réforme des retraites
- "Nous avons gagné 16 ans d'allongement de durée de vie en deux générations [...] nous n'avons pas le choix, c'est mathématique, nous allons devoir travailler plus, plus longtemps."
- Critique de la gauche : "J'ai le sentiment d'un grand gâchis quand je regarde le Parti Socialiste [...] je ne comprends pas en réalité qu'on ne protège pas notre système de protection sociale."
Révélations personnelles
- Protection policière : "Je l'ai compris en 2020. Quatre ans plus tard, je suis étonnée que certains n'aient toujours pas voulu voir la vérité de ce qui s'était passé."
- Bilan assumé : "On me reproche tout aujourd'hui [...] On me reproche aussi le déremboursement de l'homéopathie parce que je suis attachée à la science et aux preuves [...] je ne regrette pas ce que j'ai fait et mes décisions."
🎙️ Michel-Edouard Leclerc : bilan et annonces sur les prix - sur TF1
- "Il y a eu près de 5000 articles en baisse, et c'est ce qui explique que Leclerc a fait un carton en fin d'année."
Stratégie de négociation avec les industriels
- "Sur 50 000 références d'un hypermarché, ils n'ont pas eu de complexe à nous faire augmenter le prix de toutes les grandes marques, quelquefois jusqu'à 20%, 21% pendant deux ans."
- "On va restituer aux consommateurs une partie des prélèvements qui auraient pu être étalés. D'ailleurs, on va le faire intelligemment."
Critique des prix du bio
- "Quand sur le marché de ma ville, le bio est 60% plus cher qu'un produit local naturel, c'est normal que le consommateur se pose la question."
- "Moi j'y crois au bio, moi je mange bio, il faut que le bio puisse être accessible à l'ensemble des Français et pas à quelques happy few."
Demande sur les autotests
- "Je vais lui écrire aujourd'hui pour lui demander de nous redonner le droit de vendre des autotests, ne serait-ce qu'à titre préventif et pour que tout le monde en ait en stock."
- Rappel historique : "Les pharmaciens n'étaient pas capables, ni l'État, d'équiper en masque et en gel à une certaine époque. Tirons les conclusions."
Tickets restaurants
- "Il faut supprimer l'interdiction qui nous est faite [...] de vendre moins cher et de faire des promos sur les couches, sur les produits de protection menstruelle."
〽️ Chiffres des invités
- Michel-Edouard Leclerc annonce une baisse de prix sur 5000 articles chez Leclerc (Michel-Edouard Leclerc sur TF1).
- Sophie Binet déclare que le coût de l'abrogation de la réforme des retraites est estimé à 16 milliards d'euros d'ici à 2030 (Sophie Binet sur Franceinfo).
- Valérie Pécresse propose de supprimer l'ADEME et de transférer son budget de 5 milliards d'euros aux régions (Valérie Pécresse sur France Inter).
- Philippe Juvin mentionne que le jour de carence dans l'éducation nationale réduit l'absentéisme de 40% (Philippe Juvin sur Sud Radio).
- Agnès Buzyn indique que la France dépense 12.6% du PIB pour la santé, ce qui la place juste derrière l'Allemagne et les États-Unis (Agnès Buzyn sur Radio Classique).
- Elle souligne également que les États-Unis dépensent 17% du PIB pour la santé, avec un système de santé moins performant (Agnès Buzyn sur Radio Classique).
- Agnès Buzyn rappelle que la France gagne 16 ans d'espérance de vie en deux générations (Agnès Buzyn sur Radio Classique).
💡Ces chiffres sont rapportés par les invités et n'ont pas été vérifiés de manière indépendante.
Lien vers les sources de la Matinale des Matinales
Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique des magasins Leclerc (TF1 - 7h40)
Raphaël Glucksmann, député européen et coprésident de Place publique (France 2 - 7h40)
Jordan Bardella, président du RN et député européen (RTL - 7h40)
Sylvain Maillard, député EPR de Paris (Europe 1/CNEWS - 8h10)
Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé (Radio Classique - 8h15)
Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France (France Inter - 8h20)
Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT (Franceinfo - 8h30)
Fabien Roussel, secrétaire national du PCF (BFMTV/RMC - 8h30)
Philippe Juvin, député DR des Hauts-de-Seine (Sud Radio - 8h30)
Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du RN (LCI - 8h30)
Liens vers les éditos
L’édito politique sur France Inter
L’édito politique sur Europe 1
L’édito politique sur Franceinfo
L’édito politique sur Radio Classique
L’édito politique sur RTL
L’édito politique sur France Culture
L’édito éco sur France Inter
L’édito éco sur Radio Classique
L’édito éco sur Europe 1