François-Xavier Bellamy s’oppose à la loi sur l’aide à mourrir.

Le candidat, tête de liste LR, émet des critiques sur la proposition de loi et met en lumière les lacunes actuelles du système de santé français.

François-Xavier Bellamy s’oppose à la loi sur l’aide à mourrir.
Crédits : Illustration Dana / Arago

Contexte : Au cours de l'émission "Demain l'Europe", diffusée sur France Info le lundi 18 mars 2024, François-Xavier Bellamy, philosophe et député européen Les Républicains, a abordé le sujet sensible de la fin de vie en France.

Les principales annonces

La nécessité d'une meilleure prise en charge de la souffrance : François-Xavier Bellamy souligne le besoin crucial d'assurer une prise en charge adéquate de la souffrance en France avant de débattre de la fin de vie.

Donner des moyens aux soignants : Il met en avant l'importance de fournir aux soignants les ressources nécessaires pour prendre soin des personnes souffrantes. Il mentionne que la majorité d'entre eux sont opposés à la proposition de loi sur l'aide à mourir en raison des risques qu'elle comporte.

Critique de la proposition de loi sur l'aide à mourir : Il critique la proposition de loi sur l'aide à mourir d'Emmanuel Macron, prévue pour être présentée au Parlement le 27 mai 2024, et remet en question le moment choisi pour cette réforme.

Opposition personnelle à la loi : Il exprime son opposition personnelle à la proposition de loi sur l'aide à mourir, principalement car la loi Léonetti n'est pas appliquée correctement. Il suggère que si la loi existante était mise en œuvre et le débat reporté, il pourrait envisager une position différente sur l'aide à mourir.

"Vous avez des dizaines de départements dans lesquels il n'y a pas ou pas assez de services de soins palliatifs. (…) Je crois que les Français seraient plus rassurés devant la question de la fin de vie s'ils savaient que les soignants ont les moyens nécessaires." François-Xavier Bellamy

Ça se discute...

  • La critique de la proposition de loi sur l'aide à mourir reflète-t-elle une opposition fondamentale ou un appel à une meilleure application de la loi existante ?
  • La mise en avant de la nécessité de mieux gérer la souffrance préfigure-t-elle un changement dans la manière dont la France aborde la question de la fin de vie ?
  • La critique du timing de la réforme sur la fin de vie est-elle une question de principe ou une manœuvre politique ?

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Article rédigé sous supervision éditoriale avec des outils d'Intelligence Artificielle Générative.

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